Biographie | Juliane Lacroix

Mon histoire

J’ai toujours été une femme constamment à la recherche de dépassements, d’épanouissement et d’aventures. Dès mon jeune âge, j’ai développé mon sens de la discipline, de la rigueur et mon esprit compétitif au-travers mes nombreuses années de natation et de piano.

En 2010, je déménage deux ans en Australie pour compléter ma maîtrise en enseignement à Newcastle. J’y découvre une passion (voir une obsession!) pour le triathlon. C’est rapidement devenu un style de vie que j’adopte sérieusement pendant 5 ans. Mes efforts me permettent de participer aux Championnats mondiaux de Ironman et de Ironman 70.3 (2013, 2014). Mon plus beau moment de réussite sportive a été lorsque j’ai terminé première femme “age-grouper” lors de mon premier Ironman au Mont-Tremblant avec un temps de 10h10. Toute ma famille et mes amis étaient présents pour me supporter, ce fut une journée mémorable.

Après ce chapitre de vie, mon esprit d’aventurière me pousse à prendre une année sabbatique pour voyager seule en Afrique. Je débute ce périple avec une course prélèvements de fonds de 425km au-travers la Gambie (25km par jour pendant 17 jours) pour l’organisme Nova Scotia Gambia Association. Je récolte 8000$ pour cette ONG qui fait de la sensibilisation sur la santé (VIH, Malaria, hygiène de l’eau) dans les écoles et les villages rurales du pays. Mon aventure africaine se poursuit avec divers projets de bénévolat en Gambie et en Afrique du Sud, des randonnées en montagne au Kenya, des safaris en Ouganda, des gorilles au Rwanda et une multitude d’expériences enrichissantes de vie!

En 2016, je poursuis ma vie de nomade en déménageant en Chine, à Dongguan, pour enseigner le français et l’anglais dans une école internationale. Durant deux belles années, je m’imprègne de la culture asiatique, je complète deux ultra-marathons et je suis initiée à la méditation et au yoga qui deviennent des pratiques essentielles à mon équilibre de vie. Après l’Asie, je mets le cap sur l’Amérique centrale pendant 8 mois où j’apprends l’espagnol, je grimpe le plus de volcans possible et je poursuis ma quête d’épanouissement personnel et spirituel!

En 2020, alors que mon prochain contrat d’enseignement est planifié pour septembre à Bogota, le monde s’arrête pour nous permettre de faire le point sur nos vie. Je retourne à mes racines: dans ma maison familiale à Hearst dans le nord de l’Ontario pour passer quelques mois avec mes parents et pour me retrouver face à moi-même.

C’est à ce moment que je découvre le breathwork.

Dès ma première expérience, je ressens les bienfaits sur mon corps et mon esprit. Je comprends instantanément la puissance de cette pratique. À ce jour, la respiration fait partie de mon quotidien. Je prends un moment tous les matins et tous les soirs pour me connecter à mon souffle, cette source d’énergie vitale.

La respiration est devenu plus qu’une simple pratique, c’est un outil essentiel à ma vie.

Ces dernières années, le breathwork m’a aider à surmonter des épisodes de dépression, m’a appris à régulariser mon système nerveux, m’a permis d’améliorer mes capacités sportives, m’a donné la chance d’expérimenter des états de conscience altérés, et surtout il m’a fait grandir personnellement, professionnellement et spirituellement.

Le breathwork a changé ma vie.

Aujourd’hui, c’est une passion, c’est même devenu une vocation. Je veux à mon tour changer la vie des gens en enseignant le pouvoir transformateur du souffle! J’ai suivi différentes formations (Tim Van der Vliet, Jesse Coomer, Loka Yoga), j’ai expérimenté une panoplie de modalités de breathwork, et je continue régulièrement de lire et d’apprendre tout ce que je peux sur la respiration.